Ça tourne en rond.

Ça tourne en rond.

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Ça fait longtemps, je sais.
Malheureusement, encore une fois, je viens écrire quelques mots ici parce que ça va pas super bien.

Depuis deux semaine, je suis retombé. Pourquoi? J’en suis pas 100% sure. Un mélange de retour aux études, de trop de cours en même temps pour ce dit retour aux études et probablement du fait que le deuxième anniversaire de mon diagnostique approche à grand pas. L’année dernière, l’approche de cette date m’avait démoralisé de la même façon et j’ai fini par lâcher mes cours.

Cette année, ça recommence. C’est con mais ça fait mal de se dire  »Déjà deux ans… ». C’est sure qu’il y a eu des bons moments et beaucoup de chemin parcouru en deux ans mais, live up, je le vois pas. Tout ce que je vois c’est le résultat : Deux ans et c’est pas fini.

C’est difficile à accepter parfois. Est-ce que ça va me suivre toute ma vie? Est-ce que je vais devoir prendre des médicaments jusqu’à la fin de mes jours? Est-ce que un jour je vais être cappable de vivre, de finir mes études, de travailler et d’avoir une vie? J’ai pas de réponse à ces questions et ça m’énerve.

Depuis deux semaine, j’ai recommencé à avoir des crises et des attaques de panique beaucoup plus souvent, voir quotidiennement. Depuis deux semaine, j’ai peur de tout : J’ai peur de ce que les gens pensent de moi, j’ai peur d’aller à mes cours, j’ai peur de retourner dans mes cours lorsque j’en ai manqué un de peur que les gens me juges ou je ne sais quoi, j’ai peur d’aller dans les transport en commun, j’ai peur d’aller travailler, j’ai peur d’aller voir mon psy, j’ai peur de sortir de la maison, j’ai peur que les personnes qui me connaisse pas encore beaucoup dans mon nouveau programme ne veulent plus me parler parce que je manques trop de cours, j’ai peur que les gens me trouves paresseuse…

Alors je restes chez moi et je fais rien. Je fais rien parce que j’ai pas la motivation. J’ai juste envie de rester coucher. J’ai des milliers d’idées de projet dans la tête mais lorsque je penses à les réaliser ça bloque. On dirait que j’ai juste pas envie. Ce sont des projets imaginaires qui ne veulent pas prendre vie. Si j’essaie de me forcer, je fini par devenir frustrer ou insatifaite de ce que je fais. Puis je perds patience et je fais les choses vite dans la quête d’un résultat pour ensuite être déçu du dit résultat qui est nul vu que je me suis pas appliqué. J’ai des tas de projet dans ma tête qui sont disons facultatif : Si je ne les réalise pas, c’est pas grave. Mais, j’ai aussi des projets qui le sont moins comme des devoirs et des obligations tsé.

Quand j’y penses, ça me stresse. J’arrive juste pas à voir les choses qu’une à la fois. Je vois qu’un tas de choses à faire qui semble tellement gigantesque que j’arrive à ne rien faire. Quand je suis toute seule, c’est pire. J’arrive pas à me motiver du tout, je restes coucher et je fixes le plafond. Quand mon copain est là, il peut réussir à me convaincre et ça va mieux. Cependant, c’est pas vraiment mieux en fait…parce que c’est comme si je dépendais de sa présence pour être cappable d’accomplir ce que j’ai à accomplir. Dès qu’il n’est pas là, ça marche pas. Ça bloque pis je m’enfonces.

Je me sens mal parce que ça doit lui mettre tellement de pression sur les épaules….j’ai pas envie de dépendre des gens mais on dirait bien que c’est où j’en suis. Je me sens constament coupable…je ne sais pas d’où vient ce sentiment de culpabilité mais j’ai toujours l’impression que c’est de ma faute, que le poid de l’univers est sur mes épaules et que lorsque quelque chose arrive c’est de ma faute. Mon estime de moi est quasiment inexistante. J’ai l’impression que tout ce que je réalise, lorsque je réussi à réaliser quelque chose, est à chier et que je suis juste poche.

Puis on me dit «Tu vas pas encore passer toute ta journée coucher?», «T’es pas allée travailler alors faut que tu fasses de quoi de productif», «Tu devrais travailler sur tes devoirs», «Heille, qu’est-ce que tu fais encore coucher?», «Come on, faut que tu y mets un peu du tiens». Puis je me sens encore plus mal parce que j’ai l’impression d’être un poid sur les épaules des autres. Un poid décevant qui vedge pis qui fout rien. J’arrive juste pas, j’ai juste mal dans ma poitrine. Ça bloque et j’arrive à rien faire! Puis je me sens tellement coupable de ne rien être cappable de faire! Certains me dise que c’est correct de rien faire…d’autres que non et que je devrais me botter le cul. Je sais plus quoi pensé…je fini donc juste par me sentir mauvaise, poche, déprimante, chiante, incapable, (insérer tout autre terme dégradant envers ma personne ici).

J’ai pas envie de lacher mon nouveau DEC mais d’un autre côté on dirait que j’y arrive juste pas. J’arrive juste pas à faire de quoi! Je figes! J’ai juste envie de crier! Crier fort fort fort pour laisser sortir tout ce mal qui reste à l’intérieur et qui ne veut pas partir!! La semaine dernière, j’ai quitté mon cours avant sa fin. Je suis partie sans le dire à personne, je suis venu me cacher dans ma chambre et j’ai crié. J’ai crié en pleurant. Je me sentais tellement impuisante, tellement moche, tellement poche. Puis les pensés suicidaires sont revenus. J’ai tellement honte d’avoir ces pensés dans ma tête! J’aimerais tellement qu’elles disparaissent! J’ai honte parce que elle me font mal mais elle font mal aux autres autours de moi aussi. Je sais très bien que jamais je ne leur donerai raison mais elle sont quand même là. Elles me disent «Ils iraient tellement mieux sans toi», «Ils ne pleuraient plus pour rien», «Ils n’auraient plus à s’inquiéter», «Ils ont déjà assez de stresse comme ça, si t’étais pas là ils seraient moins stressé». Puis, je sais que ce n’est pas vrai! Je sais que ces pensés ne sont que mensonges mais elles ne veulent pas quitter ma cervelle! J’ai tellement honte de les avoir dans ma tête! J’ai honte de moi constament!

Ça fait deux jours que je suis supposé aller travailler, que j’échoue puis que je fais rien. J’arrive pas à dormir où je dors mal. J’arrive pas à manger. Quelqu’un me dit  »C’est pas grave! Il faut que tu te reposes » puis quelqu’un d’autre me dit  »Tu vas pas encore passé ta journée à vedger pis rien foutre là! » et je ne sais plus qui écouter! Je ne sais plus si c’est mal où si c’est bien pour moi. Je me sens juste tellement poche….

Aujourd’hui, j’ai essayé de continuer un projet et ça à pas marcher. J’ai commencé mais j’ai pas terminer pis j’ai rien ranger. Ma chambre me déprime, elle est dégueux. Pleines de vaiselle et de vêtements salles. J’essaie de la ranger puis ça redevient pareille. Puis je restes couché là à me dire  »Je devrais essayer de ranger » mais je ne trouves pas la force de le faire. Je préfère regarder le temps passé….

J’en peux tellement plus de cette fucking maladie! J’aimerais juste qu’elle disparaisse! J’aimerais juste que la moi d’autrefois revienne! Celle qui faisait pleins de choses tout le temps et qui aimait ça, celle qui était motivé et qui aimait les études, celles qui parlait avec ses amis et faisait des sorties… Elle est rendu où cette fille là?

Si vous la voyez, pouvez-vous lui dire de revenir?

Poukinie

The cat came back

The cat came back

facebookdepression

Est-ce que ça va est déjà arrivé de regarder votre fil d’actualité Facebook et de vous dire :

Wow, la vie des autres semblent tellement cool comparativement à la mienne.

Si oui, vous vous êtes donc déjà sentie comme je me sens en ce moment.

Je sais que je n’écris plus très souvent ici…et qu’une fois sur deux c’est parce que ça va pas bien mais, écrire ici est une des façon que j’ai de faire sortir le méchant chat noir de ma tête. De faire sortir les idées noires qui y trottent en espérant qu’elles iront ailleurs une fois misent sur écran.

De ces temps-ci, ça va moyen. Je recommence à avoir des downs plus souvent. J’ai peur de retomber où j’étais. J’ai peur de ne plus être cappable de vivre et travailler sans constament avoir peur de m’épuiser et de faire une rechute.

Depuis quelques jours, ça va de moins en moins bien. J’ai eu des conflits enfantins au travail qui m’ont beaucoup trop affectés. Je sais par contre que ces conflits m’ont affectés autant parce que je culpabilise beaucoup trop facilement et je stresse parce que j’ai peur de déplaire aux gens. C’est quelque chose que je dois travailler, j’en suis consciente.

En me promenant sur Facebook, j’ai vu les vies des autres et je me suis dit :

Wow, tel personne illustre déjà des livres et a tellement de talent! Wow, celle-la à un groupe de musique, ah! Tiens! Un autre en à un aussi! Wow, ils sont bons! Ils font pleins de spectacles ici et là, ça a l’air le fun. Et puis eux, ils font pleins de voyages! Ils ont l’air libres! Puis ceux là, ils sont tous à l’universités! Déjà! Le temps passe si vite… Oh! Ils passent à la télé? Wow!

N’étant loin d’être parfaite, je me suis évidement comparée à ces gens.

Qu’est-ce que je fais moi?

Côté études, ça fait un an que je n’étudis plus. J’ai fini mes cours de DEC en médias interactifs et j’ai essayé de faire un changement de direction en allant en Technique d’Intégration Multimédia. Ce n’était pas ma place. J’ai essayé de faire une session de cours de base pour avoir mon DEC et je n’ai pas été cappable. J’ai fait une nouvelle demande pour aller en dessin animé au Vieux Montréal et j’ai encore été refusé. J’ai fini par être accepté en impression textile au troisième tour. Qu’est-ce que je vais faire là bas? J’en ai aucune idée. J’ai dit au monsieur qui m’a appellé «Oui oui, ça m’intéresse l’impression textile!» (ce qui n’es pas faux) mais, très honnêtement, je ne me vois pas du tout faire ça de ma vie.

Côté travail, j’ai travaillé pendant la session d’hiver et c’était bien, très bien! Sauf que là, cet été, puisque ça va mieux, je suis retournée travailler à temps pleins. J’aime mon travail et j’aime la plupart des gens qui m’y entoure. Ils sont tous très sympathiques et super cool! J’y ai fait des rencontres supers! Cependant, depuis une semaine, en 5 jours j’ai fait 4 crises d’anxiété assez importantes. Jeudi, pour la première fois, j’ai fait une crise assez grande en public devant des gens autres que ma famille ou mon copain. J’y en ai fait une autre lundi qui, heureusement, ne s’est pas terminé à la clinique comme sa  prédécesseure. Je réussi à aller travailler deux fois sur trois. Certes, c’est mieux que zéro mais c’est frustrant quand même. J’ai peur que les gens se mettent à penser que j’abuse de ma maladie pour «avoir des congés», ce qui n’est évidement pas le cas parce que je préfère de loin être là bas avec eux que chez moi avec mon chat. Maintenant j’ai peur. J’ai peur de retomber, de refaire des crises de plus en plus souvent et de mettre mes collègues de travail et mes superviseurs dans le pépins. De leur donner plus de travail à cause de ma condition, de les obligés à deal avec des gens pas nice qui me remplace et de rendre leur travail moins agréable.

Côté loisirs et social, j’ai l’impression de m’isoler chez moi dans ma chambre. J’ai l’impression de m’éloigner de mes amis et de les voir de moins en moins souvent. On dirait que je me sens bien chez moi dans ma chambre. Par contre, à la place d’y faire des dessins ou bien de travailler sur un contract que j’ai depuis plusieurs mois maintenant  avec un ami de ma famille (que je considère comme mon oncle), je restes couché et je regarde la vie passer. Je regarde le temps qui s’écoule du sablier. Je regardes des images drôle sur internet, je regardes des dessins animés, je joues à des jeux et je socialise sans vraiment voir les gens. C’est bien de faire ce genre de chose mais, passer tout son temps libre à le faire, peut-être moins. Penser faire ces choses que je devrais faire m’épuise. J’ai des tonnes d’idées de projet, d’idées de BD, d’idées d’histoire ou d’artisanat mais tout restes dans ma tête. On dirait que dès que j’ai une journée de libre, elle passe à une vitesse folle. (la preuve, il est déjà 17h) À la fin de la journée, je me rends compte que je n’ai encore rien fait.

Mais bon, malgré tout, j’avance. J’essaie du moins. Je n’ai pas envie d’abandonner.
Ma mère m’a dit qu’elle a lut un article disant que Facebook est une très grande source de dépression et est dangereux pour les personne qui en souffre. Pourquoi? Parce qu’on y voit que le côté positif de la vie des gens. On voit le côté glamour de leur vie sans voir les obstacles qu’ils ont pu surmonter pour parvenir aux exploits. Je crois qu’elle a raison. Il y a quelques seconde je n’y croyais pas mais soudainement j’y crois. C’est triste tout de même quand on y pense. Si les gens écrivaient à propos des obstacles, à propos du comment ils se sont rendu là, à propos de comment ils vont vraiment, peut-être que ça serait plus réaliste?

En quelques secondes, j’ai réalisé que l’important, ce n’est pas le glamour.
L’important, c’est le progrès que l’on fait nous même, à notre rythme. L’important c’est l’impact que notre vie à sur nous même mais aussi sur les gens qui nous sont proches. Que ce soit en chantant devant 2 millions de personne et en rendant ainsi leur vie plus joyeuse ou en aidant une seule personne à réaliser son rêve. Ce que l’on laisse derière nous ne sera peut-être pas gravé dans la pierre où imprimé dans les archives mais il faut se souvenir que ça aura changer la vie des gens que l’on aime. Que ça aura eu un impact sur des gens, qui s’en souviendront et qui à leur tour changeront la vie d’autres gens à leur façon.

Au début, cet article était supposé être très déprimant et négatif mais, en l’espace d’un instant, il a déployé ses ailes tel un papillon et s’est métamorphoser en quelque chose de beau et m’a redonné espoir.

Merci de l’avoir lut. J’espère que si vous vous y reconnaisser quelque part, il vous aura aider à voir les choses sous un plus beau jour.

Sur ce, à bientôt!

Poukinie

I won’t give up, no i won’t give in, untill I reach the end and then i’ll start again!

I won’t give up, no i won’t give in, untill I reach the end and then i’ll start again!

Chanson de la journée et à écouter en lisant si cela vous chante

!! Alerte : Cet article peut sembler déprimant et contient un peu de bitchage. Oops !!


Je le savais déjà mais j’ai l’impression de recevoir un énorme coup de poignard dans ma poitrine. Ça me ramène dans le passé, il y a 3 ans déjà…

En 2013, j’avais essayé d’entrer en animation au Cégep du Vieux Montréal. C’était le programme de mes rêves depuis secondaire 4 lorsque je l’avais découvert en faisant des portes ouvertes. Je n’avais pas de plan B, j’allais en animation.

Mes notes étaient bonnes donc j’ai pu avoir accès au test d’admission en dessin. Quand je suis sortie de la classe, j’avais l’impression d’avoir bien fait ou d’avoir des chances. J’ai reçu une lettre un peu plus tard avec un site web et un numéro. Il fallait aller sur le site et trouver son numéro pour savoir si on était admis.

Évidement, ce serait trop gentil et facile d’écrire  »oui » ou  »non » donc pour savoir si on était admis, ça dépendait de la lettre associé à tes talents artistiques. Les gens ayant  »A » était admis, les gens ayant  »B » était presque tous admis, les gens ayant  »C » n’était pas admis mais pourait peut-être recevoir une lettre par miracle si quelqu’un se désistait et les gens ayant  »D » était nul à chier et pouvait aller se cacher. (Okay, je vous l’accorde, ils ne disaient pas ça. Les gens ayant  »D » n’atteignaient pas les critères de sélections et n’étaient pas admis. Ça sonne mieux mais bon je préfère ma version).

Évidement, vous devinerez que j’ai eu un énorme  »D » étamper sur mon front résultant à des heures, des jours, voirs des semaines de déprime et de pleurs.

Après cette réponse, je n’avais plus été cappable de dessiner pendant des mois. J’avais honte. J’avais l’impression qu’on venait de me dire que ce que je faisait depuis que je sais tenir un crayon était de la grosse merde et que ça valait pas de la snoutte comme on dit par chez nous. J’ai recommencé à dessiner dans mon agenda de cégep seulement 5-6 mois plus tard. Bref, quel belle façon de motiver les gens n’est-ce pas?

(J’ai fini par aller à André-Laurendeau et j’en suis très contente malgré tout parce que j’y ai rencontré des gens formidables sans qui je ne serait surement pas en train de guérir présentement. J’en suis très reconnaissante (je vous aimes gang!) )

Trois ans plus tard, ne sachant plus quoi faire de ma vie, je décides de m’essayer à nouveau et d’envoyer une demande d’admission en dessin animé au vieux. Je sais pas pourquoi j’ai fait ça ni ce que je croyais mais bon, le passé c’est le passé! À cause de mes multiples cours abandonnés (avec preuves d’un docteur) et mon seul et unique cours coulé (à 45% quand j’ai laché au milieu de la session not bad not bad) je n’ai même pas eu l’oportunité de retenter ma chance au test de dessin.

Bref, je ne sais pas si mes dessins sont encore de la snoutte pis je ne sais pas quoi faire de ma vie ni en quoi étudier ni quoi faire en général. Est-ce que je lâches les études pis je passes ma vie au salaire minimum? Est-ce que j’essaie à nouveau en sachant qu’il y ai des chance d’un refus encore? Est-ce que j’attend et j’essaie d’allé à l’université? Tant de questions dans ma tête en ce moment sans aucune réponses.

Ça fait vraiment mal très honnêtement. J’ai pas le goût de bouger, j’ai envie de pleurer en boule dans mon kigurumi mouton et attendre que le mal passes mais je peux pas parce que je travail à 15h45. Très honnêtement, j’adore ma job la plupart du temps mais la j’ai vraiment pas le goût genre j’ai juste peur de me mettre à pleurer devant les kids pis de leurs dire que la vie c’est de la marde pis que leurs talent sera jamais apprécié par les écoles qu’ils convoitent. (Mais non, c’est pas vrai je ne ferais pas ça puis c’est pas mal mon chat noir qui parle en ce moment donc si vous me posiez la question demain la réponse serait totalement différente).

C’est là qu’entre en scène la merveilleuse chanson ci-haut tiré du dernier film d’animation de Disney Zootopia.

J’ai pas envie d’abandonné même si en ce moment c’est la seule chose que j’ai envie de faire. Si le Vieux Montréal veut pas de moi, FINE! C’est pas ça qui va m’empêcher d’avancer et ne pas abandonné! Personne ne croyait que Judy Hopps pourait devenir policière et elle là fait (ok c’est un film d’animation mais si ça me motive on s’en fou) alors pourquoi moi je pourais pas devenir illustratrice ou whatever?

Les non font mal. Très mal. (Surtout à deux reprises)
MAIS C’EST PAS EUX QUI VONT ME M’EMPÊCHER DE BONDIR.

Sur ce, soyez comme Judy mes petits lapins et ne lacher pas vos rêves même si des gens vous mettent des batons dans les roue parfois. Vous êtes plus fort qu’eux et tout est possible lorsqu’on y croit!

(Je vais essayer de croire cette dernière penser même si live up elle veut rien dire pour moi)

Poukinie