Hard Times!

Hard Times!

Hier, je suis allée voir le concert de Paramore avec mon copain. Nous avions acheté les billets il y a tellement longtemps que nous avions quasiment oublié qu’on les avait… (oops)

Je connais ce band depuis la folie de Twilight. Je l’avoue, j’étais une méga groupie de la série il fut un temps back in 2008. Nous étions fous, nous étions jeunes et innocents et en quête d’histoires à l’eau de rose (une poigné de vampire en plus, why not!) Bref, je venais d’entré à F.A.C.E et tout le monde en parlait. J’étais allée le voir avec ma mère et j’avais écouté la bande sonore tellement j’avais aimé le film et sa musique. Tout ça pour dire que Paramore ont fait deux chansons dans le film et que c’est comme ça que je les ai connus.

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De ces temps-ci, je n’écoute pas beaucoup de musique. Brancher mes appareils électroniques semble comme une tâche pour être honnête. (Il y a peut-être un mini peu de paresse aussi mais chut). Je n’ai même pas eu le temps d’écouter leur nouveau CD comme il se doit avant d’aller au spectacle hier. Je ne connaissais donc aucunes de leurs nouvelles chansons!

Heureusement pour moi :

  1. Le band a joué beaucoup de chansons de leurs 4 premiers albums que je connaissais tous par coeur au secondaire.
  2. Les chansons de leur nouvel album sont extraordinaires.

J’écris ici surtout parce qu’il s’est passé quelque chose au concert hier qui m’a complètement chamboulée. Hayley Williams, la chanteuse, a fait un discours avant une de leurs nouvelles chansons qui m’a énormément interpellé.

Grâce à la magie d’internet, j’ai trouvé ce merveilleux discours qu’elle a fait hier. Je vous laisse l’écouter et vais le traduire au meilleur de mes capacités pour ceux parmis nous qui ne serait pas très alaises avec l’anglais!

 

(Si vous comprenez bien l’anglais, ne lisez pas ce qui est en bleu-violet pour rien!)

Comme si cette chanson n’était pas assez triste (elle parle ici de la dernière chanson qu’ils avaient interprétés), nous allons aller encore plus profondément dans l’obscurité, mais nous irons ensemble alors ça devrait aller!

Plus tôt cette année, plus précisément ce printemps, nous avons lancé notre 5ième album intitulé After Laughter. C’était une énorme victoire pour nous encore plus en tant que personne qu’en tant que band parce que c’était bien d’être capable de rêver à nouveau et de créer quelque chose. Merci, vous êtes vraiment gentils! Je sais que ce n’est pas un sujet facile à aborder quand il y a autant de gens mais nous allons le faire pareille.

Être triste et n’avoir plus d’espoir est une chose dangereuse, cela peut devenir très épeurant. J’imagine que ce que je veux faire en ce moment c’est vous encourager, si vous êtes vraiment triste et n’avez plus d’espoir, a créé quelque chose. Faites quelque chose de créatif. Peu importe ce que cela veut dire pour vous. Vous pouvez écrire une chanson, peindre une toile ou tout simplement aller dehors pour regarder toutes les belles chose qu’il y a dans la nature et qui existe autour de vous. Faites quelque chose qui vous connecte au reste du monde, pour que vous puissiez rêver de nouveau! Quand l’on arrête de rêver, cela devient très épeurant et c’est une mauvaise chose.

Donc, nous avons écrit une chanson à propos de tout cela et c’est comme ça que nous sommes restés en vie. Maintenant, nous allons la chanter ici pour vous. Si vous voulez chanter avec nous, ne vous gêner pas. Ça s’appelle 26

Traduction des paroles de la chanson dispo ICI

J’étais assise tout là haut, au milieu de la dernière rangée du balcon. Je l’écoutais parler et je pleurais. Puis, je l’ai écouter chanter une chanson que je ne connaissais pas du tout et j’ai encore plus pleurer en l’écoutant. J’avais juste l’impression qu’elle me parlait à moi précisément. Qu’elle me disait que je n’étais pas seule là dedans et que ça allait aller.

Normalement, c’est moi qui vous dit que vous n’êtes pas seule là dedans, mais moi aussi j’ai besoin qu’on me le rappelle des fois quand ça va pas et c’est ce qu’a fait Hayley Williams pour moi hier soir. Ça m’a fait tellement du bien de l’écouter et de pleurer et de m’en foutre de ce que les autres pensaient. C’était comme si elle chantait cette chanson juste pour moi.

Ce soir, j’ai décidé d’écouter plus attentivement leur dernier album. J’y ai trouvé une autre chanson qui, selon moi, décrit exactement comment on se sent quand on vit de la dépression et de l’anxiété. Je trouves ça vraiment bien que ce ne soit pas une chansons slow/déprimante mais plutôt une chanson qui donne envie de danser. Je sais ce que j’écoute toujours maintenant quand ça va mal!

 

Faites comme moi ce soir et mettez ça dans le tapis quand ça va pas. Ça n’efface peut-être pas les problèmes mais ça aide, l’espace d’un instant, à les oublier un peu!

Prenez soin de vous mes petit rayons de soleil ❤

Poukinie

Ça tourne en rond.

Ça tourne en rond.

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Ça fait longtemps, je sais.
Malheureusement, encore une fois, je viens écrire quelques mots ici parce que ça va pas super bien.

Depuis deux semaine, je suis retombé. Pourquoi? J’en suis pas 100% sure. Un mélange de retour aux études, de trop de cours en même temps pour ce dit retour aux études et probablement du fait que le deuxième anniversaire de mon diagnostique approche à grand pas. L’année dernière, l’approche de cette date m’avait démoralisé de la même façon et j’ai fini par lâcher mes cours.

Cette année, ça recommence. C’est con mais ça fait mal de se dire  »Déjà deux ans… ». C’est sure qu’il y a eu des bons moments et beaucoup de chemin parcouru en deux ans mais, live up, je le vois pas. Tout ce que je vois c’est le résultat : Deux ans et c’est pas fini.

C’est difficile à accepter parfois. Est-ce que ça va me suivre toute ma vie? Est-ce que je vais devoir prendre des médicaments jusqu’à la fin de mes jours? Est-ce que un jour je vais être cappable de vivre, de finir mes études, de travailler et d’avoir une vie? J’ai pas de réponse à ces questions et ça m’énerve.

Depuis deux semaine, j’ai recommencé à avoir des crises et des attaques de panique beaucoup plus souvent, voir quotidiennement. Depuis deux semaine, j’ai peur de tout : J’ai peur de ce que les gens pensent de moi, j’ai peur d’aller à mes cours, j’ai peur de retourner dans mes cours lorsque j’en ai manqué un de peur que les gens me juges ou je ne sais quoi, j’ai peur d’aller dans les transport en commun, j’ai peur d’aller travailler, j’ai peur d’aller voir mon psy, j’ai peur de sortir de la maison, j’ai peur que les personnes qui me connaisse pas encore beaucoup dans mon nouveau programme ne veulent plus me parler parce que je manques trop de cours, j’ai peur que les gens me trouves paresseuse…

Alors je restes chez moi et je fais rien. Je fais rien parce que j’ai pas la motivation. J’ai juste envie de rester coucher. J’ai des milliers d’idées de projet dans la tête mais lorsque je penses à les réaliser ça bloque. On dirait que j’ai juste pas envie. Ce sont des projets imaginaires qui ne veulent pas prendre vie. Si j’essaie de me forcer, je fini par devenir frustrer ou insatifaite de ce que je fais. Puis je perds patience et je fais les choses vite dans la quête d’un résultat pour ensuite être déçu du dit résultat qui est nul vu que je me suis pas appliqué. J’ai des tas de projet dans ma tête qui sont disons facultatif : Si je ne les réalise pas, c’est pas grave. Mais, j’ai aussi des projets qui le sont moins comme des devoirs et des obligations tsé.

Quand j’y penses, ça me stresse. J’arrive juste pas à voir les choses qu’une à la fois. Je vois qu’un tas de choses à faire qui semble tellement gigantesque que j’arrive à ne rien faire. Quand je suis toute seule, c’est pire. J’arrive pas à me motiver du tout, je restes coucher et je fixes le plafond. Quand mon copain est là, il peut réussir à me convaincre et ça va mieux. Cependant, c’est pas vraiment mieux en fait…parce que c’est comme si je dépendais de sa présence pour être cappable d’accomplir ce que j’ai à accomplir. Dès qu’il n’est pas là, ça marche pas. Ça bloque pis je m’enfonces.

Je me sens mal parce que ça doit lui mettre tellement de pression sur les épaules….j’ai pas envie de dépendre des gens mais on dirait bien que c’est où j’en suis. Je me sens constament coupable…je ne sais pas d’où vient ce sentiment de culpabilité mais j’ai toujours l’impression que c’est de ma faute, que le poid de l’univers est sur mes épaules et que lorsque quelque chose arrive c’est de ma faute. Mon estime de moi est quasiment inexistante. J’ai l’impression que tout ce que je réalise, lorsque je réussi à réaliser quelque chose, est à chier et que je suis juste poche.

Puis on me dit «Tu vas pas encore passer toute ta journée coucher?», «T’es pas allée travailler alors faut que tu fasses de quoi de productif», «Tu devrais travailler sur tes devoirs», «Heille, qu’est-ce que tu fais encore coucher?», «Come on, faut que tu y mets un peu du tiens». Puis je me sens encore plus mal parce que j’ai l’impression d’être un poid sur les épaules des autres. Un poid décevant qui vedge pis qui fout rien. J’arrive juste pas, j’ai juste mal dans ma poitrine. Ça bloque et j’arrive à rien faire! Puis je me sens tellement coupable de ne rien être cappable de faire! Certains me dise que c’est correct de rien faire…d’autres que non et que je devrais me botter le cul. Je sais plus quoi pensé…je fini donc juste par me sentir mauvaise, poche, déprimante, chiante, incapable, (insérer tout autre terme dégradant envers ma personne ici).

J’ai pas envie de lacher mon nouveau DEC mais d’un autre côté on dirait que j’y arrive juste pas. J’arrive juste pas à faire de quoi! Je figes! J’ai juste envie de crier! Crier fort fort fort pour laisser sortir tout ce mal qui reste à l’intérieur et qui ne veut pas partir!! La semaine dernière, j’ai quitté mon cours avant sa fin. Je suis partie sans le dire à personne, je suis venu me cacher dans ma chambre et j’ai crié. J’ai crié en pleurant. Je me sentais tellement impuisante, tellement moche, tellement poche. Puis les pensés suicidaires sont revenus. J’ai tellement honte d’avoir ces pensés dans ma tête! J’aimerais tellement qu’elles disparaissent! J’ai honte parce que elle me font mal mais elle font mal aux autres autours de moi aussi. Je sais très bien que jamais je ne leur donerai raison mais elle sont quand même là. Elles me disent «Ils iraient tellement mieux sans toi», «Ils ne pleuraient plus pour rien», «Ils n’auraient plus à s’inquiéter», «Ils ont déjà assez de stresse comme ça, si t’étais pas là ils seraient moins stressé». Puis, je sais que ce n’est pas vrai! Je sais que ces pensés ne sont que mensonges mais elles ne veulent pas quitter ma cervelle! J’ai tellement honte de les avoir dans ma tête! J’ai honte de moi constament!

Ça fait deux jours que je suis supposé aller travailler, que j’échoue puis que je fais rien. J’arrive pas à dormir où je dors mal. J’arrive pas à manger. Quelqu’un me dit  »C’est pas grave! Il faut que tu te reposes » puis quelqu’un d’autre me dit  »Tu vas pas encore passé ta journée à vedger pis rien foutre là! » et je ne sais plus qui écouter! Je ne sais plus si c’est mal où si c’est bien pour moi. Je me sens juste tellement poche….

Aujourd’hui, j’ai essayé de continuer un projet et ça à pas marcher. J’ai commencé mais j’ai pas terminer pis j’ai rien ranger. Ma chambre me déprime, elle est dégueux. Pleines de vaiselle et de vêtements salles. J’essaie de la ranger puis ça redevient pareille. Puis je restes couché là à me dire  »Je devrais essayer de ranger » mais je ne trouves pas la force de le faire. Je préfère regarder le temps passé….

J’en peux tellement plus de cette fucking maladie! J’aimerais juste qu’elle disparaisse! J’aimerais juste que la moi d’autrefois revienne! Celle qui faisait pleins de choses tout le temps et qui aimait ça, celle qui était motivé et qui aimait les études, celles qui parlait avec ses amis et faisait des sorties… Elle est rendu où cette fille là?

Si vous la voyez, pouvez-vous lui dire de revenir?

Poukinie

The cat came back

The cat came back

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Est-ce que ça va est déjà arrivé de regarder votre fil d’actualité Facebook et de vous dire :

Wow, la vie des autres semblent tellement cool comparativement à la mienne.

Si oui, vous vous êtes donc déjà sentie comme je me sens en ce moment.

Je sais que je n’écris plus très souvent ici…et qu’une fois sur deux c’est parce que ça va pas bien mais, écrire ici est une des façon que j’ai de faire sortir le méchant chat noir de ma tête. De faire sortir les idées noires qui y trottent en espérant qu’elles iront ailleurs une fois misent sur écran.

De ces temps-ci, ça va moyen. Je recommence à avoir des downs plus souvent. J’ai peur de retomber où j’étais. J’ai peur de ne plus être cappable de vivre et travailler sans constament avoir peur de m’épuiser et de faire une rechute.

Depuis quelques jours, ça va de moins en moins bien. J’ai eu des conflits enfantins au travail qui m’ont beaucoup trop affectés. Je sais par contre que ces conflits m’ont affectés autant parce que je culpabilise beaucoup trop facilement et je stresse parce que j’ai peur de déplaire aux gens. C’est quelque chose que je dois travailler, j’en suis consciente.

En me promenant sur Facebook, j’ai vu les vies des autres et je me suis dit :

Wow, tel personne illustre déjà des livres et a tellement de talent! Wow, celle-la à un groupe de musique, ah! Tiens! Un autre en à un aussi! Wow, ils sont bons! Ils font pleins de spectacles ici et là, ça a l’air le fun. Et puis eux, ils font pleins de voyages! Ils ont l’air libres! Puis ceux là, ils sont tous à l’universités! Déjà! Le temps passe si vite… Oh! Ils passent à la télé? Wow!

N’étant loin d’être parfaite, je me suis évidement comparée à ces gens.

Qu’est-ce que je fais moi?

Côté études, ça fait un an que je n’étudis plus. J’ai fini mes cours de DEC en médias interactifs et j’ai essayé de faire un changement de direction en allant en Technique d’Intégration Multimédia. Ce n’était pas ma place. J’ai essayé de faire une session de cours de base pour avoir mon DEC et je n’ai pas été cappable. J’ai fait une nouvelle demande pour aller en dessin animé au Vieux Montréal et j’ai encore été refusé. J’ai fini par être accepté en impression textile au troisième tour. Qu’est-ce que je vais faire là bas? J’en ai aucune idée. J’ai dit au monsieur qui m’a appellé «Oui oui, ça m’intéresse l’impression textile!» (ce qui n’es pas faux) mais, très honnêtement, je ne me vois pas du tout faire ça de ma vie.

Côté travail, j’ai travaillé pendant la session d’hiver et c’était bien, très bien! Sauf que là, cet été, puisque ça va mieux, je suis retournée travailler à temps pleins. J’aime mon travail et j’aime la plupart des gens qui m’y entoure. Ils sont tous très sympathiques et super cool! J’y ai fait des rencontres supers! Cependant, depuis une semaine, en 5 jours j’ai fait 4 crises d’anxiété assez importantes. Jeudi, pour la première fois, j’ai fait une crise assez grande en public devant des gens autres que ma famille ou mon copain. J’y en ai fait une autre lundi qui, heureusement, ne s’est pas terminé à la clinique comme sa  prédécesseure. Je réussi à aller travailler deux fois sur trois. Certes, c’est mieux que zéro mais c’est frustrant quand même. J’ai peur que les gens se mettent à penser que j’abuse de ma maladie pour «avoir des congés», ce qui n’est évidement pas le cas parce que je préfère de loin être là bas avec eux que chez moi avec mon chat. Maintenant j’ai peur. J’ai peur de retomber, de refaire des crises de plus en plus souvent et de mettre mes collègues de travail et mes superviseurs dans le pépins. De leur donner plus de travail à cause de ma condition, de les obligés à deal avec des gens pas nice qui me remplace et de rendre leur travail moins agréable.

Côté loisirs et social, j’ai l’impression de m’isoler chez moi dans ma chambre. J’ai l’impression de m’éloigner de mes amis et de les voir de moins en moins souvent. On dirait que je me sens bien chez moi dans ma chambre. Par contre, à la place d’y faire des dessins ou bien de travailler sur un contract que j’ai depuis plusieurs mois maintenant  avec un ami de ma famille (que je considère comme mon oncle), je restes couché et je regarde la vie passer. Je regarde le temps qui s’écoule du sablier. Je regardes des images drôle sur internet, je regardes des dessins animés, je joues à des jeux et je socialise sans vraiment voir les gens. C’est bien de faire ce genre de chose mais, passer tout son temps libre à le faire, peut-être moins. Penser faire ces choses que je devrais faire m’épuise. J’ai des tonnes d’idées de projet, d’idées de BD, d’idées d’histoire ou d’artisanat mais tout restes dans ma tête. On dirait que dès que j’ai une journée de libre, elle passe à une vitesse folle. (la preuve, il est déjà 17h) À la fin de la journée, je me rends compte que je n’ai encore rien fait.

Mais bon, malgré tout, j’avance. J’essaie du moins. Je n’ai pas envie d’abandonner.
Ma mère m’a dit qu’elle a lut un article disant que Facebook est une très grande source de dépression et est dangereux pour les personne qui en souffre. Pourquoi? Parce qu’on y voit que le côté positif de la vie des gens. On voit le côté glamour de leur vie sans voir les obstacles qu’ils ont pu surmonter pour parvenir aux exploits. Je crois qu’elle a raison. Il y a quelques seconde je n’y croyais pas mais soudainement j’y crois. C’est triste tout de même quand on y pense. Si les gens écrivaient à propos des obstacles, à propos du comment ils se sont rendu là, à propos de comment ils vont vraiment, peut-être que ça serait plus réaliste?

En quelques secondes, j’ai réalisé que l’important, ce n’est pas le glamour.
L’important, c’est le progrès que l’on fait nous même, à notre rythme. L’important c’est l’impact que notre vie à sur nous même mais aussi sur les gens qui nous sont proches. Que ce soit en chantant devant 2 millions de personne et en rendant ainsi leur vie plus joyeuse ou en aidant une seule personne à réaliser son rêve. Ce que l’on laisse derière nous ne sera peut-être pas gravé dans la pierre où imprimé dans les archives mais il faut se souvenir que ça aura changer la vie des gens que l’on aime. Que ça aura eu un impact sur des gens, qui s’en souviendront et qui à leur tour changeront la vie d’autres gens à leur façon.

Au début, cet article était supposé être très déprimant et négatif mais, en l’espace d’un instant, il a déployé ses ailes tel un papillon et s’est métamorphoser en quelque chose de beau et m’a redonné espoir.

Merci de l’avoir lut. J’espère que si vous vous y reconnaisser quelque part, il vous aura aider à voir les choses sous un plus beau jour.

Sur ce, à bientôt!

Poukinie